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10e Rencontres photographiques de La Ravoire

Le collectif de photographes ART’gentik73 présente pour la 10ème édition des Rencontres de La Ravoire une exposition de la photographe américaine Vivian Maier (1926-2009) et quinze photographes spécialistes de l’argentique et des procédés anciens.

"Pour terminer l'année 2016 en beauté Vivian Maier, avec une quarantaine de photos du Champsaur, les 8 autoportraits et une quinzaine de copie des vintages américains,  était exposée en Italie. Et pas n'importe où: au "Palazzo Ducale" de  Lucca une ville superbe de Toscane.

Parmi les  très nombreux photographes contemporains qui participaient au festival de PHOTOLUX, elle bénéficiait d'une "loggia" qui lui était exclusivement réservée.

Les trois semaines se sont déroulées avec un intérêt certain pour cette photographe dont l'histoire et la technique photographique étaient parfaitement commentées lors des visites guidées organisées par Enrico Stefanelli, le directeur du festival.

C'est au cours de ce festival que Roberto Carlone a présenté pour la première fois son spectacle théatral "gli occhi di Vivian Maier", éclairé par sa venue dans le Champsaur au printemps dernier.

Grâce à l'enthousiasme de l'équipe d'autres projets pourront voir le jour en Italie ou même en France. Nous en profitons pour les remercier chaleureusement."

Images de l'exposition italienne Photolux Lucca 2016 : http://corrierefiorentino.corriere.it/

Exposition organisée en partenariat avec l’association « Vivian Maier et le Champsaur »

Vivian Maier ou la légende d’un génie de la photographie de rue, découverte après toute une vie de prises de vue, ayant vécu dans l'anonymat comme nounou à New York pendant 50 ans où elle est née en 1926 et à Chicago où elle est décédée en 2009.
Découvert fortuitement par John Maloof, président d'une société historique de Chicago, son travail en fait une figure majeure de la Street Photography, magnifiant les laissés-pour-compte, les marginaux, les SDF et miséreux noirs ou blancs auxquels on sent qu'elle s'identifie dans ses clichés.  La partie française de sa biographie et de ses photos en France a été reconstituée grâce aux travaux de l'Association Vivian Maier et le Champsaur, la vallée d'origine de sa famille maternelle.
Son style fait le lien entre la photographie humaniste française et la photographie américaine des années 1955-1960 qui préfère montrer les êtres avec leurs failles et leurs faiblesses plutôt que de les idéaliser. Elle embrasse tous les sujets et tous les genres : natures mortes, paysages, portraits, ­autoportraits, dans lesquels elle se dévoile à peine, corps androgyne, ­visage chapeauté, refusant toute forme de séduction.
Son secret est d'avoir réalisé au cours de sa vie près de 120 000 photos de rue sans les avoir vues elle-même pour une bonne partie puisqu'elle n'a pas toujours eu la possibilité ni les moyens financiers de développer ou de faire développer ses négatifs.

Le thème du concours photo Vivian Maier pour l'année 2017 sera : "A la rencontre de l'autre"

Exposition du 8 juillet au 24 septembre Maison de la Photographie de Toulon

Exposition organisée en partenariat avec l’association « Vivian Maier et le Champsaur » et la Galerie "Les Douches" à Paris.

Vivian Maier ou la légende d’un génie de la photographie de rue, découverte après toute une vie de prises de vue, ayant vécu dans l'anonymat comme nounou à New York pendant 50 ans où elle est née en 1926 et à Chicago où elle est décédée en 2009.

Découvert fortuitement par John Maloof, président d'une société historique de Chicago, son travail en fait une figure majeure de la Street Photography, magnifiant les laissés-pour-compte, les marginaux, les SDF et miséreux noirs ou blancs auxquels on sent qu'elle s'identifie dans ses clichés.  La partie française de sa biographie et de ses photos en France a été reconstituée grâce aux travaux de l'Association Vivian Maier et le Champsaur, la vallée d'origine de sa famille maternelle.

Son style fait le lien entre la photographie humaniste française et la photographie américaine des années 1955-1960 qui préfère montrer les êtres avec leurs failles et leurs faiblesses plutôt que de les idéaliser. Elle embrasse tous les sujets et tous les genres : natures mortes, paysages, portraits, ­autoportraits, dans lesquels elle se dévoile à peine, corps androgyne, ­visage chapeauté, refusant toute forme de séduction.

Son secret est d'avoir réalisé au cours de sa vie près de 120 000 photos de rue sans les avoir vues elle-même pour une bonne partie puisqu'elle n'a pas toujours eu la possibilité ni les moyens financiers de développer ou de faire développer ses négatifs.

Vernissage le jeudi 7 juillet à 18h30